25 novembre 2008
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Le corps est tenu dans une nasse de lignes parallèles, un quadrillage infini, un réseau continu couvrant toutes choses, jusqu'au visage même, effaçant identité et expression. Pourtant il faut tenir, mais est-ce que tout cela n'est pas un peu étouffant ? D'autant qu'au coeur de la poitrine la prolifération menace. La machine abstraite se déplace et se répand sur le corps, menaçant d'en effacer toute trace humaine... D'où, peut-être, ces deux poings serrés. Réagir ? Maintenant ? Ou accepter. Maintenant. (hum...)